dimanche 11 mars 2012

#7 "No matter what anybody tells you, words and ideas can change the world."

Et ces idées, John Keating alias Robin William compte bien les appliquer et ce dès son premier jour en tant que professeur de littérature au sein de l'austère académie de Welton !


Il n'en fallu pas plus pour enchanter les élèves par la magie des mots et de leur pouvoir, mais surtout de la magie du libre arbitre, de l'indépendance, bref un véritable hymne à la liberté et au réveil des consciences est clamé par l'enseignant, bouleversant les codes d'une institution en plein apprentissage de sa désuétude et instaurant une nouvelle volonté de vivre à la sauce épicurienne chez la jeunesse qui se met à prendre goût au romantisme et décide de prendre son destin en main, direction l'épanouissement !

"Dead Poets Society" (1989) de Peter Weir est un film interpellant. Oui, qu'en est-il de votre vision de la vie? Quel est le prix de la liberté individuelle dans une société opérant ouvertement le formatage ? Par simple identification aux désirs qui prennent vie des étudiants, nous voilà portés par la catharsis dans une instabilité sociale régnante, une école se scindant donnant lieu à la tragédie si bien orchestrée par monsieur le scénariste Tom Schulman

"On ne lit pas ni écrit de la poésie parce que c’est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l’humanité. Et l’humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l’amour, c’est pour ça qu’on vit."

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